Voilà l'idée d'une nouvelle catégorie qui me vient. Rapporter la présence des danseuses dans les films. Bien souvent rares et peu mises en valeurs si ce n'est le temps d'une scène ou deux, je penses qu'elles valent toutefois que l'on reconnaissent leurs prestations, ne serait-ce que pour le plaisir des yeux.
Love in Paris (Another 9½ Weeks de son véritable titre) est la suite du célèbre 9 Semaines ½, le drame sentimental / film érotique avec Mickey Rourke et Kim Basinger. Une séquelle tardive venant près de dix ans après l'original et qui n'est en fait qu'une petite production destinée au marché vidéo, espérant capitaliser sur son titre et sur la présence de Mickey Rourke qui revient pour l'occasion.
Si je ne peux pas dire de 9 Semaines ½ qu'il est un mauvais film, dans le sens où techniquement le métrage tient bien la route et que beaucoup risqueraient de me tomber dessus, je peux quand même signaler que l'œuvre n'était absolument pas mon genre en raison de personnages insupportables et d'un scénario assez douteux dont on attend un éventuel rebondissement qui ne vient jamais.
Mais bon, chacun son avis. Love in Paris lui, c'est pratiquement la même chose mais sans la qualité de production, et en encore plus mou.
Je ne signal ici que la présence des deux danseuses que je croise un peu par hasard durant l'intrigue bien trop longue. La première est pratiquement la seule que je me dois de vraiment présenter: une danseuse orientale que l'on trouve sur la scène minable d'un petit club de jeu clandestin de Paris, où Mickey Rourke et Angie Everhart se rencontrent.
Je ne peux pas vraiment juger sa prestation puisque sa présence est trop courte à l'écran, sa chorégraphie souvent entrecoupée de plans de jeux ou filmée de loin. En gros elle n'est qu'un meuble pour la séquence, jouant le côté "authentique" du club oriental sans que le réalisateur ne trouve le moyen de vraiment profiter d'elle. Le truc habituel.
Bien heureusement quelques gros plans ici et là nous permettrons tout de même d'avoir un aperçu de sa tenue (j'avoue ne pas être fan de son choix de coiffure) et de quelques mouvements somme toute assez basique bien que certains soient très beaux.
Love in Paris (Another 9½ Weeks de son véritable titre) est la suite du célèbre 9 Semaines ½, le drame sentimental / film érotique avec Mickey Rourke et Kim Basinger. Une séquelle tardive venant près de dix ans après l'original et qui n'est en fait qu'une petite production destinée au marché vidéo, espérant capitaliser sur son titre et sur la présence de Mickey Rourke qui revient pour l'occasion.
Si je ne peux pas dire de 9 Semaines ½ qu'il est un mauvais film, dans le sens où techniquement le métrage tient bien la route et que beaucoup risqueraient de me tomber dessus, je peux quand même signaler que l'œuvre n'était absolument pas mon genre en raison de personnages insupportables et d'un scénario assez douteux dont on attend un éventuel rebondissement qui ne vient jamais.
Mais bon, chacun son avis. Love in Paris lui, c'est pratiquement la même chose mais sans la qualité de production, et en encore plus mou.
Je ne signal ici que la présence des deux danseuses que je croise un peu par hasard durant l'intrigue bien trop longue. La première est pratiquement la seule que je me dois de vraiment présenter: une danseuse orientale que l'on trouve sur la scène minable d'un petit club de jeu clandestin de Paris, où Mickey Rourke et Angie Everhart se rencontrent.
Je ne peux pas vraiment juger sa prestation puisque sa présence est trop courte à l'écran, sa chorégraphie souvent entrecoupée de plans de jeux ou filmée de loin. En gros elle n'est qu'un meuble pour la séquence, jouant le côté "authentique" du club oriental sans que le réalisateur ne trouve le moyen de vraiment profiter d'elle. Le truc habituel.
Bien heureusement quelques gros plans ici et là nous permettrons tout de même d'avoir un aperçu de sa tenue (j'avoue ne pas être fan de son choix de coiffure) et de quelques mouvements somme toute assez basique bien que certains soient très beaux.
L'autre danseuse, dans le genre anecdotique, est visible quelques minutes plus tard après que les protagonistes du film quitte le club pour s'enfoncer dans la faune de nuit parisienne près des quais. Là se trouvent quelques prostituées et leurs clients, ainsi que cette étrange femme vêtue de cuir noir qui pratique une danse aux accents beaucoup plus modernes que la danse orientale classique.
Sa figuration est encore plus réduite que sa collègue puisque nous n'avons doit qu'à deux ou trois plans de sa performance, cela dit sa présence inattendue la rend assez remarquable. Hélas il n'y a vraiment rien à redire tant il ne s'agit que de quelques images perdues sur le reste du métrage.
Voici une compilation vidéo des quelques plans de danse visible à travers le film pour les curieux, histoire de vous épargner la vision du film. En raison d'une qualité audio déplorable sur ma copie du film, j'ai préféré couper le son du club et y ajouter une autre musique (ici la célèbre In-a-Gadda-da-Vida d'Iron Buttefly).
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